350 personnes se sont déplacées lors des heures d'ouverture au public, et nous avons compté environ 120 personnes pour le vernissage. À cela s'ajoutent les groupes de scolaires qui sont venus visiter l'exposition les matinées.

À l'entrée du hall d'exposition, 4 de nos véhicules accueillaient les visiteurs : le Chausson VFD n°52 et le Vetra VBF à gauche, le Berliet PCM-U et le Chausson SGTE n°184 à droite, disposés en V. Derrière eux, sur une vaste surface étaient présentés les 76 photos sur des supports métalliques disposés en deux cercles concentriques. Au centre, des écrans diffusaient un film, et une projection de diapositives se déroulait à l'intérieur du Chausson 184. Le fond de l'exposition était marqué par la face avant de 5 de nos véhicules (le Chausson Janin, le Berliet PR14 VFD, le Chausson VFD n°118, le Berliet Cruisair 3 et le SC-10 PF).



Lors du vernissage de l'exposition, le premier jour, le maire de Pont-de-Claix, Christophe Ferrari par ailleurs chercheur en glaciologie, a axé son discours sur l'importance de la connaissance notamment concernant les changements climatiques qui nous menacent. Il a également remercié chaleureusement Standard 216 d'avoir permis à cette exposition de se dérouler en ces lieux, ainsi que pour son travail patrimonial.






Nous avons également profité de l'occasion pour faire découvrir au maire le Berliet Cruisar 3 qui appartenait à la ville de Pont-de-Claix et que nous envisageons de restaurer. Christophe Ferrari, qui a grandi à Pont-de-Claix, se rappelait très bien de ce véhicule qui l'avait transporté lorsqu'il était jeune. Il se rappelait même de la couleur des sièges !



Nous ne pouvons que nous féliciter d’avoir pris en commun la décision d’accueillir l’expo sur le Patrimoine polaire, car lors du vernissage de cette expo mais aussi au cours de ces trois semaines, nombre de personnes découvraient notre espace Histo Bus Dauphinois.

Parmi celles-ci, nous avons reçu un ancien électricien de la Saviem d’Annonay, cette usine qui fabriquait des autobus et des autocars, dont des Chausson, et qui s’appelle aujourd’hui « IRISBUS ». Il se trouve que cet électricien, montait les faisceaux sur les TC. Peut-être a-t-il lui-même câblé, parmi les Chausson, notre 208, ou le 118 d’Antoine, ou encore le 121 ? Sachez par ailleurs que cette personne n’est autre qu’un Adjoint Municipal à l’Urbanisme et à l’économie à l’époque des maires successifs de Pont de Claix qu’étaient MM Couëtoux et Blonde.

Parmi les visiteurs qui ont laissé un message sur le livre d'or de l'exposition, nombreux sont ceux qui ont également eu un mot pour le travail de Standard 216.



C'est avec un peu de tristesse que nous avons éteint pour la dernière fois l'éclairage de l'exposition hier soir.

Christian Morel était très content d'avoir pu présenter son travail en notre Histo Bus Dauphinois, qui offrait un cadre original mettant en valeur l'exposition. Et de notre côté nous avons vécu une première expérience très intéressante, au cours de laquelle notre hall s'est transformé en un véritable lieu d'exposition à la place d'un dépôt d'autobus. Nous avons noté quelques idées qui nous aideront à mieux mettre en valeur les choses que nous présenteront au public. Et le tout s'est déroulé dans une ambiance sympathique.

Donc merci Christian, et bonne continuation !


Vous pouvez visiter le site internet de l'exposition Notre patrimoine polaire.